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Entre ces deux nus une même exactitude anatomique et une pose presque identique. Mais l'un est traité comme une étude avec ce qu'elle peut avoir de sensuel mais aussi d'impersonnel ou tout au moins de conventionnel, l'autre est une œuvre d'art qui montre comment Aliquot interprète de façon graphique la réalité et lui fait dire l'au-delà des choses. Dans le Nu de 1954, il y épuise le geste d'où naît le dessin de la cuisse et du bassin et ainsi fait surgir un cercle, tout à la fois siège de la maternité et métaphore de la vie et de son cycle sans cesse recommencé,... |
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... motif que l'on retrouvera plus tard en
1965 |
... comme dans le jeu des bras |